Faits divers

Commune de Nkolafamba: situation confuse!

Le Préfet de Mfou décide de convoquer le conseil municipal de Nkolafamba à l’effet de débarquer le 1er adjoint qui aurait démissionné. De l’autre côté, les jeunes de la localité dénoncent et estiment que le Préfet a été soit trompé, soit dévoyé et se préparent à une riposte terrible le jour dit. Jusqu’ici, nous n’avons pas pu rentrer en possession de l’acte de démission du 1er adjoint au Maire de Nkolafamba. Une fois de plus, la commune dans un tourbillon de passions.

Tout serait parti de la lettre N° 002591/L/MINDDEVEL/SG/DRH-CTD/SDEL du 30 Juillet 2020 Constatant la démission du 1er Adjoint au Maire de la Commune de Nkolafamba. Une lettre dont nous ne sommes jusqu’ici, pas encore rentrés en possession, mais sur la base de laquelle, le Préfet Dickdent Emmanuel Mariel de la Mefou et Afamba, va pondre l’arrêté N°001289/AP/JOS/SP Portant convocation le Mardi 24 Novembre prochain à 12h, d’une session extraordinaire du Conseil municipal en vue de l’élection du premier adjoint au Maire de la Commune de Nkolafamba, ceci conformément – selon les termes de cet arrêté préfectoral – aux dispositions de l’article 205 de la loi N°2019/024 du 24 Décembre 2019 Portant Code général des Collectivités territoriales décentralisées.
De l’autre côté, la jeunesse de Nkolafamba est très remontée, dénonce et estime le premier adjoint au Maire Raoul Bengono Nkoudou en qui ils se reconnaissent et de surcroît Président de la Section Ojrdpc Mefou et Afamba Centre-Nkolafamba, fait de plus en plus l’objet des frappes chirurgicales. En quelques sortes, il serait l’enfant mal aimé de l’Arrondissement, quoique très dynamique et bien soutenu par la jeunesse. Rencontré, le premier adjoint au Maire n’a pas été capable de nous présenter sa lettre de démission sur la base de laquelle, le préfet serait contraint de procéder dans l’urgence, à son remplacement. Lui même s’en est d’ailleurs étonné de constater qu’on dit qu’il a démissionné. Autour de lui, les jeunes nous ont embarrassé en nous demandant l’acte qui constate la démission du premier adjoint.
La lettre dans les visas est de qui ? Ont-ils poursuivi dans leur questionnement.
Bien plus, les jeunes nous ont opposé quelques basses manœuvres, un rouleau compresseur visant à livrer ce jeune homme politique aux francs-tireurs de la presse avec des articles commandés généralement remis à l’esplanade de l’église catholique de Nkoabang. En face, l’on ignore de quoi parle l’auteur. Mais les jeunes crient au ras-le-bol et sont déterminés cette fois à défendre leur sort et à se faire entendre. Ils veulent garder leur voix au chapitre.
Un communiqué non signé mais publié dans les réseaux sociaux par l’un des responsables des jeunes de Nkolafamba, vient davantage éclairer les lanternes, même si ce communiqué sonne comme une dénonciation et une mise en garde. En voici la teneur: « Bonsoir à tous nos ainés du département..les jeunes de Nkolafamba par ma voix tiennent à dénoncer ici l’acharnement des gens tapis dans l’ombre sans véritable fondement jurique qui cherchent par ce motif à apporter les soulèvements populaires à Nkolafamba en induisant mr le préfet en erreur que nous avons pris acte de leur machination..mais les prenons à témoin et leur disons que à Nkolafamba ..c’est la fin qui justifiera les moyens ..il est temps pour vous nos parents de bien vouloir restituer notre autorité administrative sur le véritable mobile de cette action qui ne laissera personne indifférente..par ailleurs nous réaffirmons notre soutient au Président Paul Biya et mettrons toute notre énergie pour que cette insulte et mépris envers le choix de la jeunesse ne soient qu’un triste souvenir….Membres du gouvernement…députés et grandes élites ..nous nous remettons à votre sagesse..merci
Affaire à suivre..

Un cadre de la Préfecture du Mfoundi relevé de ses fonctions pour corruption, insubordination et arnaque

David Emmanuel Ngoa, chef service des Affaires administratives, Juridiques et Politiques, par ailleurs Chef du secrétariat particulier du préfet du Mfoundi, est remplacé par Annir Honoré Mahama, un cadre contractuel informatique, a appris Lebledparle.com.

Le mis en cause est accusé de plusieurs délits entre autres : la corruption, l’insubordination, l’arnaque des usagers et l’outrage aux forces de maintien de l’ordre. L’arrêté de sa suspension, parvenu à notre rédaction ce mercredi, est signé par l’adjoint du Préfet Moïse Bienvenu Mbazoa . Selon ledit document administratif, sieur David Emmanuel Ngoa reste «à la disposition de la préfecture pour tout dossier en cours de traitement le concernant ».


Couple collé depuis une semaine au Cameroun

Le service des urgences de l’Hôpital gynéco obstétrique et pédiatrique de Yaoundé (HGOPY) a reçu jeudi dernier en matinée un couple de patients d’un autre genre. Un homme et une femme, en tenue d’Adam et Eve, ont été descendus du véhicule entrelacés et emballés dans un grand sac de riz vide. La femme, ainsi que son amant, habiteraient le quartier Bamiléké à Obala. D’après nos sources, les amants étaient entrés depuis 15h mercredi dernier, dans une chambre d’un hôtel de la place.


Surpris qu’après de nombreuses heures passées en tête à tête le couple restait toujours enfermé, les gérants dudit hôtel vont voir ce qui s’y passait. C’est alors qu’ils ont découvert le couple entrelacé et incapable de se détacher. Ce qui semble ne pas surprendre les riverains dans cette ville. D’après ces derniers, le mari, qui soupçonnait son épouse d’adultère depuis quelque temps, avait entrepris de découvrir la vérité par n’importe quel moyen, et par le même fait de la punir. Transporté à l’hôpital d’Obala, les deux tourtereaux n’y séjourneront pas longtemps. Le personnel médical ayant déclaré son incompétence face à ce genre de situation. Le couple a donc été évacué à Yaoundé.


Selon un infirmier de l’HGOPY, les patients y sont arrivés au tour de 10 heures jeudi dernier dans la position dite du « missionnaire », à bord d’un taxi. La même source rapporte que le rapport est non protégé. Ceux-ci n’y seraient d’ailleurs pas restés longtemps, les médecins de l’HGOPY s’étant également déclarés incompétents à s’occuper de ce type de cas. Conseillant aux deux amants de continuer tout près à l’Hôpital général. Mais, les infirmiers de cet hôpital affirment n’avoir pas reçu le couple en ébats prolongés. D’après eux, celui-ci séjourne bel et bien à l’HGOPY.


Au moment où nous mettions sous presse, nos sources à Obala nous faisaient savoir que les deux amants n’étaient pas encore de retour. Selon elles, seul le mari cocu, instigateur de ce fait est le seul capable de mettre un terme à cette galère en retournant tout simplement auprès de son gourou pour renoncer à son châtiment.



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