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Education de la jeune fille : 75 bourses scolaires d’une durée de trois ans pour des enfants du Haut-Nyong

Dans le cadre de la première phase du micro-projet parlementaire baptisé « Appui à la scolarisation de la jeune fille dans le département du Haut Nyong », dans la région de l’Est, Berthe Nanga Mefant (photo), députée à l’Assemblée nationale, va accompagner 75 jeunes filles au cours des 3 prochaines années.

« Pour cette première cuvée, nous avons retenu d’abord 70 jeunes filles à raison de 5 par arrondissement pour le système francophone ayant obtenu le BEPC et le CAP et 5 filles pour le sous-système anglophone pour le compte de l’examen du GCE Ordinary Level. Ce qui fait un total de 75 filles retenues », explique l’élue.

Les critères ayant prévalu pour la sélection des lauréates sont l’âge et les résultats officiels du BEPC, du CAP et du GCE Ordinary Level mis disposition par les services déconcentrés du ministère des Enseignements secondaires du Haut- Nyong.

Déperdition scolaire

Pour l’accompagnement des lauréates au cours de l’année scolaire 2021-2022, la députée a offert des manuels scolaires, les frais de scolarité des 75 filles dans leurs établissements scolaires respectifs, 2 cartons de cache-nez et 200 flacons de gel hydro-alcoolique. Le don d’une valeur de 7 millions de FCFA a été remis le 15 septembre à Abong-Mbang, chef-lieu du département.

« Je suis consciente que ce projet n’est qu’un début de solution en ce qui concerne la problématique des déperditions scolaires chez les jeunes filles dans notre département. Je sais également qu’il nous reste beaucoup à faire », a-t-elle indiqué. En effet, la région de l’Est fait partie des zones dites d’éducation prioritaire où les déficits éducatifs sont encore importants.

Exigences

Pour bénéficier de cet appui jusqu’en classe de terminale, les lauréates devront satisfaire certaines exigences. En plus du passage en classe supérieure avec une moyenne annuelle de 12 sur 20, il leur faudra éviter les grossesses et le mariage pendant la scolarisation et surtout pas de mariage.

Dans ce qu’elle appelle « Contrat social », l’élue s’engage à apporter un appui à la scolarisation de la jeune fille de la classe de seconde jusqu’en classe de terminale. Il revient à leurs parents d’assumer les charges liées à l’hébergement et à la nutrition de leurs enfants.

 Elle exhorte les parents à soutenir les filles dans ce challenge tout en respectant leur part du ‘’Contrat social’’. « Vous qui m’aviez soutenu politiquement, soutenez-moi aussi dans la réalisation de cet important projet qui pourrait améliorer les conditions de vie de nos filles et dans nos familles », insiste la députée.

Aux jeunes filles, Berthe Nanga Mefant rappelle que « la beauté physique d’une femme est éphémère et perd de la valeur avec l’âge !  Par contre, les connaissances que vous allez acquérir à l’école sont pérennes et ne se dégradent pas avec l’âge ».

D.M.

L’honorable Gaston Komba présent au Centre Universitaire Joseph NDI SAMBA, à Yaoundé.

En sa qualité d’ambassadeur de bonne volonté de l’opération « Vacances Utiles 2021 », le Secrétaire Général de l’Assemblée Nationale a présidé ce 18 Août la cérémonie de remise des attestations de fin de formation à près de 400 jeunes, formés concomitamment par la plus ancienne université privée laïque du Cameroun et le groupe CSP Éducation, à l’effet d’implémenter le PSAOP-Jeunes.

Par Daniel NOKMIS

Après Douala le 6 Août dernier, où 423 jeunes, formés à l’annexe polytechnique du Centre Universitaire Joseph NDI SAMBA et à l’antenne CSP Éducation ont reçu des attestations de fin de formation, le même exercice s’est déroulé ce 18 Août à Yaoundé.

Et C’est la salle d’apparat du Centre universitaire Joseph NDI SAMBA, qui a servi de cadre à cette cérémonie riche en sons et couleurs.

Comme Ulysse qui avait fait un bon voyage, les 400 récipiendaires  étaient heureux de recevoir leurs parchemins après deux mois de formation professionnelle quasi chirurgicale.

À l’instar de celle de Douala, la cuvée de Yaoundé a été formée dans une palette de filières en  parfaite adéquation avec la demande actuelle du monde de l’emploi, en l’occurrence, l’installation de panneaux solaires et de  matériels de vidéosurveillance, la maintenance informatique, le montage audiovisuel, la comptabilité de gestion informatisée, l’entrepreneuriat agricole, et tuttti quanti.

<< Vous avez compris la nécessité, au delà d’avoir un diplôme académique, d’avoir une formation pratique. C’est un complément qui peut vous aider non seulement à entrer dans le monde professionnel, mais être vous-mêmes votre propre employeur>>  a dit l’honorable Gaston Komba, s’adressant aux lauréats.

Puis s’adressant aux plénipotentiaires du Centre Universitaire Joseph NDI SAMBA et du Groupe CSP Éducation, deux entités qui ont su, avec maestria, mettre en musique l’opération « Vacances Utiles 2021 », le Secrétaire Général de l’Assemblée Nationale les a félicité pour ce véritable vivier du vivre-ensemble. <<En leur enseignant des choses utiles dans leur vie pratique,  ils apprennent des choses utiles pour la société, utiles pour le pays et, cerise sur le gâteau, ils apprennent le vivre-ensemble. Ils apprennent surtout, en vivant ensemble, à réaliser ce que le Président Paul BIYA appelle de tous ses vœux : l’intégration nationale>>.

L’on pourrait renchérir en disant intégration sous-régional, car parmi ces lauréats  se trouvait une  trentaine de ressortissants du Tchad.

Et c’est précisément le substrat du PSAOP-JEUNES, le Programme Sous-régional d’Aide à l’Orientation et à la Professionnalisation des Jeunes en zone CEMAC, dont le CNJC Social program, initiateur « des Vacances Utiles 2021 » est le bras séculier au Cameroun.

Après Yaoundé, le train de la remise des attestations de fin de formation se rendra à Bertoua, Ngaoundére et Bafoussam, où le Centre Universitaire Joseph NDI SAMBA a désormais ses tentacules.

Mission du Recteur de l’AUF au Cameroun : Des pistes de collaboration concrètes pour l’employabilité des diplômés.

Le Recteur de l’AUF, Prof. Slim Khalbous, a effectué une mission au Cameroun, du 16 au 20 mai 2021. Cette visite de travail, la première depuis sa prise de fonction en décembre 2019, a été marquée par quatre moments forts : des rencontres avec les chefs d’établissements membres du Cameroun, la signature de trois accords-cadres de partenariat avec le gouvernement camerounais, la signature de la convention d’hébergement du Centre d’employabilité francophone (CEF) de Douala, un dîner-débat sur le thème de l’employabilité et de l’insertion professionnelle des diplômés.

Réunions et échanges avec les recteurs des universités d’État et les chefs d’institutions privées de l’enseignement supérieur membres de l’AUF au Cameroun

Le prof. Slim Khalbous s’est également adressé aux chefs d’établissements membres de la région, connectés à distance

Lors des réunions de travail avec le Recteur de l’Université de Yaoundé 1, le Recteur de l’Université de Yaoundé 2 et les Chefs d’établissements membres du Cameroun, le Prof. Slim Khalbous a présenté la nouvelle orientation stratégique de l’AUF, basée sur 4 éléments :

  • un nouveau modèle de gouvernance marqué notamment par le renouvellement de ses équipes, l’instauration de la parité dans son directoire ainsi que le renouvellement de sa méthode de travail dont la consultation mondiale est une résultante ;
  • un nouveau concept – la Francophonie scientifique – plus large, qui rend mieux compte du rayonnement de l’université sur l’ensemble de la chaîne éducative, englobe la formation professionnalisante, la recherche passerelle entre l’université et la formation professionnelle ainsi que l’ouverture de l’université sur son environnement ;
  • de grands projets structurants, plus fédérateurs, à l’instar des centres d’employabilité francophones, espaces d’accompagnement professionnel pour les étudiants ;
  • autour des thématiques stratégiques : la transformation numérique dans les systèmes éducatifs et universitaires, l’employabilité, l’insertion professionnelle des diplômés et l’entrepreneuriat, la recherche-action, la recherche-innovation, la recherche à impact économique et social, la publication d’articles scientifiques en français, l’innovation pédagogique, etc.

Le Recteur a annoncé la création de bureaux nationaux, en plus des directions régionales, pour renforcer la présence de l’AUF dans les pays francophones importants comme le Cameroun et valoriser le génie de l’expertise et des compétences francophones à l’échelle scientifique internationale. Il a également annoncé la création cette année, de deux CEF pilotes au Cameroun, à Douala et à Yaoundé.

Signature d’accords-cadres de partenariat avec le gouvernement du Cameroun

La cérémonie de signature de ces accords-cadres de partenariat a eu lieu le 18 mai 2021 au ministère des relations extérieures.

Les conventions avec le gouvernement de la République du Cameroun fixent le cadre de partenariat et les modalités de collaboration entre l’AUF et trois départements sectoriels : le ministère de l’emploi et de la formation professionnelle, le ministère de la jeunesse et de l’éducation civique, le ministère des petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’artisanat.

L’éclairage du Recteur de l’AUF : « La question du chômage des diplômés est une question cruciale pour les pays du Sud en général et au Cameroun, c’est une question très importante et stratégique. L’AUF va accompagner les ministères engagés dans ce partenariat dans les questions de l’employabilité, notamment pour une meilleure insertion des diplômés de l’université. À côté de cela, nous allons également travailler sur la recherche et l’innovation. En fonction des besoins exprimés par les autorités publiques, nous allons lancer des programmes de recherche qui apportent des solutions concrètes aux problèmes économiques et sociaux du pays. Enfin, la formation des formateurs. Le besoin en formation des formateurs est énorme. Il concernera les aspects didacticiels et technologiques mais surtout les aspects numériques pour pouvoir concrétiser l’enseignement hybride, nécessité absolue pour les prochaines années. »

Signature de la convention d’hébergement du CEF de Douala

La convention d’hébergement du CEF de Douala a été signée par les profs. Slim Khalbous représentant l’AUF et Magloire Ondoa, Recteur de l’Université de Douala.

Les centres d’employabilité francophones constituent l’un des éléments clés de la prochaine stratégie de l’AUF pour relever le défi de l’employabilité des diplômés. Espaces d’accompagnement à l’insertion professionnelle à l’intérieur de l’université et entièrement financé par l’AUF, les CEF vont accueillir prioritairement les étudiants en phase de diplomation pour leur proposer un bilan de compétences, un plan de carrière, des formations complémentaires et les rendre mieux employables.

« Cette nouveauté est extraordinaire parce qu’elle va permettre d’abord de proposer des formations gratuites, ensuite de proposer des certifications gratuites, des certifications en langue, des certifications en nouvelles technologies… » a souligné le Recteur de l’AUF dans son allocution, lors de la signature de la convention d’hébergement du CEF de Douala, le 19 mai 2021. « Nous allons, à travers la coopération avec le ministère, notamment le MINESUP, lancer le statut d’étudiant entrepreneur, c’est-à-dire encourager les étudiants, avant même de quitter les enceintes de l’université, à être porteurs de projets. Dès lors, plutôt que d’être demandeurs d’emplois, ils sont créateurs d’emplois, mais pour cela, il faut pouvoir les identifier, ces étudiants qui sont capables d’être porteurs de projet, et c’est l’un des objectifs de ces CEF » ajoutera-t-il.

Le CEF de Douala sera hébergé par l’Université de Douala, au sein de l’Institut universitaire de technologie (IUT). L’IUT abrite déjà depuis 2017, la Plateforme de coopération université-entreprise (PCUE), financée par l’AUF.

Dîner-débat sur le thème de l’employabilité et de l’insertion professionnelle des diplômés

À l’initiative du Directeur de l’IUT, le professeur Jacques Etame, et dans le prolongement de la signature de la convention du CEF de Douala, le Recteur de l’AUF s’est entretenu avec des chefs d’entreprises, des startuppers, des responsables universitaires et les autorités administratives locales,  sur l’employabilité et l’insertion professionnelle des diplômés. La rencontre a eu lieu dans un hôtel de la ville, autour d’un dîner-débat. Dans une atmosphère détendue et conviviale, chaque partie a présenté son regard, ses actions et sa vision dans ce domaine. Des échanges nourris, ont permis de conforter les points de vue diversifiés et convergents. Au final, les différents protagonistes se sont accordés sur la nécessité d’une collaboration conjointe et d’une synergie d’actions pour  des résultats porteurs en faveur de l’employabilité et l’insertion professionnelle des diplômés. Le CEF de Douala y jouera un rôle prépondérant.

Centre Universitaire J.Ndi Samba, Désormais dans cinq régions du Cameroun.

C’est le fruit d’un partenariat stratégique signé ce 4 juin 2021 à Yaoundé avec le Groupe CSP Éducation, un programme social du Conseil National de la jeunesse du Cameroun  parrainé par  le Réseau des parlementaires Espérance Jeunesse (REJE) de l’Assemblée Nationale du Cameroun.

Par Daniel NOKMIS

A l’horizon 2030, 159.229 jeunes de la sous-région Afrique Centrale, parmi lesquels 34.375 Camerounais, vont recevoir des formations qualifiantes dans le cadre de la mise en oeuvre du Programme d’Aide National et sous-régional à l’Orientation et la Professionnalisation des jeunes, dénommé PNAOP- Jeunes.

L’implémentation de ce programme de grande envergure requiert une expérience de haut vol dans le domaine de la formation professionnelle, mais aussi une logistique bien huilée, notamment en termes de  ressources humaines et d’infrastructures appropriées et up-to-date.

Pour le Groupe CSP Éducation au cœur du PNAOP- jeunes, la seule institution ayant l’étoffe pour l’accompagner c’est le Centre Universitaire Joseph Ndi Samba, partie intégrante du Groupe Ndi Samba formations  fondé il y a 53 ans, avec à son actif la formation de plus de deux cent cinquante-mille jeunes du Cameroun et de la sous-région Afrique Centrale.

<<Le contrat de partenariat signé ce jour avec le Centre Universitaire Joseph Ndi Samba est un impératif catégorique, fort de sa très longue expérience et de son arsenal logistique dont nous avons besoin pour implémenter nos projets>>  a indiqué l’Honorable Guy Rostand TCHUATA, député junior et promoteur du Groupe CSP Éducation implanté à Yaoundé, Douala, Bafoussam,  Ngaoundéré et Bertoua.

<< Le contrat de partenariat entre le Centre Universitaire Joseph Ndi Samba et le Groupe CSP Éducation n’est pas une fusion>> a précisé, pour dissiper toute équivoque, Raymond NDI SAMBA, le Président du Conseil d’Administration de la Fondation Joseph Ndi Samba pour l’Éducation, promotrice du centre universitaire.

C’est un regroupement académique professionnel circonscrit au programme national et sous-régional d’aide à l’orientation et la professionnalisation des jeunes , au sein duquel les deux entités offrent des filières, domaines et niveaux de formation qui ne se chevauchent pas.

 << il s’agit d’une mutualisation des ressources humaines et logistiques pour une profitabilité partagée et des conditions de formation optimales pour les jeunes>> a synthétisé Raymond NDI SAMBA.

Au delà des formations professionnalisantes dans une kyrielle de domaines en phase avec la demande actuelle du monde de l’emploi,   Le contrat de partenariat entre le Centre Universitaire Joseph Ndi Samba et le Groupe CSP  Éducation met un accent particulier sur les incubateurs d’entreprises.

En effet, le credo des deux entités c’est l’insertion socioprofessionnelle par l’auto-emploi.

À très court terme, le Centre Universitaire Joseph Ndi Samba et le Groupe CSP Éducation prévoient d’ouvrir des annexes à Sangmelima, Ebolowa, Buéa, Maroua, puis Bamenda, Garoua et dans la sous-région Afrique Centrale, le e-learning étant quant à lui, déjà effectif grace à la plate-forme  ndisambaonline.com/moodle30.

NDI SAMBA POLYTECH-Douala, Invitée spéciale du Salon Africain de l’Éducation

Ce sera du 28 Mars au 03 Avril prochain, au Palais Polyvalent des Sports de Yaoundé.

Par Daniel NOKMIS

‘’C’est au regard de votre envergure et de la qualité de vos formations, que nous vous proposons exceptionnellement un stand sur le site de l’événement’’.

Par ces propos, la Jeunesse Unie et Solidaire d’Afrique (JUSA), organisatrice du Salon Africain de l’Éducation (SAED), justifie dans une correspondance du 03 Mars dernier, l’invitation spéciale de NDI SAMBA POLYTECH Douala à cette grand-messe de l’éducation africaine.

En moins d’une année d’existence, l’Annexe 100% polytechnique de la plus ancienne université privée laïque du Cameroun, est devenue le ‘’MUST’’ de tous les rendez-vous majeurs réunissant les locomotives de l’enseignement supérieur public et privé, autour des problématiques sur l’innovation et de l’entrepreneuriat des jeunes.

Après son passage, désormais inscrit dans l’airain de l’histoire, à la Semaine de l’Innovation et de l’Entrepreneuriat organisée au mois de février dernier par l’École Nationale Supérieure polytechnique de Douala, NDI SAMBA POLYTECH Douala est attendue à Kribi les 26 et 27 Mars courant, à la faveur du HACKATHON organisé par le Port Autonome de la cité balnéaire du Sud du Cameroun, avant de poser ses valises du 28 Mars au 03 Avril prochain au Palais Polyvalent des Sports de Yaoundé, dans le cadre du Salon Africain de l’Éducation.

Organisé sous le thème « Entrepreneuriat jeune, paix et intégrité », le SAED a pour but de promouvoir une éducation de qualité, ciblée et efficace pour la jeunesse, mais surtout axée sur les besoins de la société.

Par ailleurs, il vise la promotion de la culture entrepreneuriale et l’insertion socio-professionnelle et économique des jeunes.

Selon ses promoteurs ,le SAED connaîtra la participation d’une dizaine de pays, d’une pléiade d’institutions publics et privés , ainsi qu’un nombre important d’établissements scolaires, d’universités publiques et d’instituts privés d’enseignement supérieur. « Les privilégiés de l’enseignement supérieur seront présentés comme la référence dans leur catégorie devant les ministères, ambassades, institutions, entreprises et partenaires au développement », assure Brice TCHAKOUNTE, le président de la Jeunesse Unie et Solidaire d’Afrique.

Ce salon est surtout une vitrine qui permettra, notamment à NDI SAMBA POLYTECH Douala, de faire connaître d’avantage son offre avant-gardiste unique dans la sous-région Afrique Centrale et d’atteindre directement son cœur de cible que sont les étudiants en devenir et leurs parents, en quête d’une formation de qualité en parfaite adéquation avec la demande du marché de l’emploi contemporain. « C’est une grande opportunité pour mobiliser directement les apprenants, qui viendront découvrir les meilleurs offres qualité/prix pour leurs formations » dixit Brice TCHAKOUNTE, déjà cité supra.

Et sur le circuit du rapport qualité/prix, NDI SAMBA POLYTECH Douala, affiliée à l’École Nationale Supérieure Polytechnique de la ville éponyme et situé à Beedi en face de l’église EEC, est en pole position.

Port Autonome de Kribi :Un Hackathon pour des solutions utiles et innovantes.

Impulsé par le Directeur Général du PAK, Patrice Barthélémy MELOM, ce marathon du digital se tiendra les 26 et 27 mars prochain à Kribi, ville d’implantation du complexe portuaire.

Par Daniel NOKMIS

Allez sur la page d’accueil du site internet du Port Autonome de Kribi, en abrégé PAK !

En vitrine, quatre mots anglais en lettres capitales, en guise de Welcome : SMART PORT, ATTRACTIVE BUSINESS.

Pour les illettrés de la langue de Chaucer, cela signifie prosaïquement que l’attractivité du PAK rime avec solutions intelligentes et services innovants.         

Ce credo est devenu un impératif catégorique au sein du Port Autonome de Kribi le 02 mars 2018, date marquant officiellement le lancement de ses activités opérationnelles et commerciales, avec l’arrivée du navire le «CMA-CGM Bianca». Porte-conteneurs de quatre-vingt-dix mille tonnes de jauge brutes, une première pour un bateau  de ce gabarit au Cameroun, le mastodonte a accosté ce jour-là sans aucune anicroche.

Pour le Directeur Général,  ce coup d’essai doit être  un coup de maître  permanent. Patrice Barthélémy MELOM professe que cela est éminemment tributaire des nouvelles technologies de l’information et de la communication, devenues l’épine dorsale des activités portuaires.

Or, dans un landerneau des Tics en constantes mutations, où les technologies d’aujourd’hui deviennent désuètes le lendemain, il faut sans cesse s’arrimer à la nouvelle donne, il faut constamment se renouveler pour être le plus attractif et compétitif.

C’est tout le sens du Hackathon organisé par le Port Autonome de Kribi, qui se déroulera  dans la ville balnéaire éponyme.

Impulsé par Patrice Barthélémy MELOM, Directeur Général du PAK, en osmose avec les directives du Président Paul BIYA relatives à la promotion de l’entreprenariat jeune, ce marathon ou concours du digital mettra aux prises des étudiants, des start-ups et des entrepreneurs du secteur des technologies de l’information et de la communication, autour d’un projet collaboratif de programmation informatique ou de création numérique.

Selon le Port Autonome de Kribi, « cette  démarche à but essentiellement commercial, lui permettra de créer une solution de valorisation de son image auprès du grand public et facilitera les interactions avec la clientèle ».

Des interactions avec la clientèle déjà effectives au travers du nouveau site internet du PAK. « Plus moderne, plus interactif, plus fonctionnel et destiné à être plus ergonomique, afin de faciliter la navigation des internautes » dixit le Directeur Général, Patrice Barthélémy MELOM.

Le Hackathon PAK 2021 se déroulera les 26 et 27 mars prochain sous le thème : l’innovation au service de l’excellence opérationnelle.

Université de Douala – IPES: Vers un nouveau cahier de charges

C’est l’une des deux résolutions saillantes de la concertation du lundi 26 novembre, entre le top management de  cette université d’état et les  promoteurs des 55 instituts privés d’enseignement supérieur sous sa tutelle. Présidée par son Recteur, le prof Magloire ONDOA,  la concertation avait pour cadre l’amphithéâtre 200   de l’Institut Universitaire de technologie (IUT)  de Douala.

Ce conclave est consécutif à une tournée récemment effectuée dans les instituts privés d’enseignement supérieur sous l’autorité tutélaire de l’Université de Douala, par le Recteur et son staff. 

« J’ai reçu beaucoup de plaintes des IPES, qui de leur côté  ne jouent pas toujours franc-jeu avec l’Université. J’ai pensé que nous devions discuter de tout cela face à face, en famille. Car il n’y a pas à gauche les IPES et à droite l’Université de Douala. Les IPES sont nos partenaires, pas des instituts sous la dévotion de l’Université de Douala », a assené le Prof Magloire ONDOA dans son légendaire style dépouillé de toutes circonlocutions inutiles, dès l’orée de son propos liminaire.

Plainte de l’université de Douala

Un arrêté du Ministre de l’Enseignement supérieur prescrit aux IPES de reverser, pour  chaque étudiant  régulièrement inscrit en leur sein,  cinquante mille francs CFA à l’université d’état avec qui ils sont liés par une convention de tutelle. Selon le Recteur de l’Université de Douala, cette obligation règlementaire incompressible en l’état actuel des textes, ne trouve pas l’adhésion de tous.

 «Beaucoup d’IPES se livrent à la manipulation de leurs effectifs, à l’effet de minorer les montants réels à reverser à l’université » a déclaré le Prof Magloire ONDOA, qui a décidé de sonner l’hallali des discordances entre les effectifs déclarés et les effectifs réels.

 « A dater d’aujourd’hui, les IPES qui  persisteront dans ce jeu illégale, verront leur convention de tutelle avec l’Université de Douala résiliée sans autre forme de procès » a-t-il très sentencieusement martelé.

Grief des IPES

Les promoteurs des instituts privés d’enseignement supérieur crient haro sur l’asphyxie financière de leurs tutelles techniques, en l’occurrence les chefs de département.

‘’ Les missions de contrôle, les soutenances, les examens et tutti quanti, sont des occurrences de saignée à grands flots de nos budgets pourtant lilliputiens’’.  Le Recteur de l’université de Douala affirme avoir entendu ces griefs comme une antienne, à chacune des haltes de sa tournée. « Nous devons avoir une tutelle efficace, qui n’étouffe pas. Nous devons avoir une tutelle lisible, une tutelle  lisse » a exhorté le Prof Magloire ONDOA.

Et pour ce faire, il a préconisé le rafraichissement du cahier de charges en vigueur entre l’Université de Douala et les IPES, qui intègre les prestations citées supra mais dont les contours financiers très évasifs,  sont la voie royale pour les toutes les dérives.

A cet effet, Une commission tripartite (Rectorat-chefs d’établissement-promoteurs d’IPES) est en cours de constitution pour un texte qui satisfera les intérêts de toutes les parties.

La deuxième résolution forte à l’issue de la concertation de ce lundi, est  la mise en place d’un fonds commun pour la recherche. « L’Université de Douala et les IPES sous sa tutelle académique, doivent être à l’avant-garde de la collaboration  entre universités d’état et université privées. Nous devons donner l’exemple que les autres doivent copier » a conclu le Prof Magloire ONDOA.

Daniel NOKMIS

Groupe Ndi Samba Formation Pionnier un jour, Pionnier toujours !

    Créé il y’a 52 ans par le patriarche Joseph Ndi Samba, le plus ancien groupe privé d’enseignement secondaire et supérieur du Cameroun marque à nouveau l’histoire avec l’ouverture, dès cette année académique 2020- 2021, de l’une des premières écoles polytechniques privées du pays.

     Ce jalon historique se dénomme Ndi Samba Polytech Douala. Située en face de l’église EEC de Beedi, à quelques encablures de l’Hôpital Général de la capitale économique du Cameroun, cette école avant-gardiste est une excroissance privée de l’École Nationale polytechnique de Douala, dont la tutelle est assurée par l’Université de Douala, une université d’État.

     D’office, cette affiliation à des entités étatiques adresse la question récurrente et légitime des étudiants,sur les signataires des diplômes qui seront obtenus à Ndi Samba Polytech Douala. Par ailleurs, elle dissipe toutes les équivoques sur les curricula, qui seront en parfaite adéquation avec ceux en vigueur à l’Université de Douala et à l’Ecole Nationale polytechnique de Douala.

      Enfin, cette double tutelle induit deux choses pour les étudiants de Ndi Samba Polytech Douala:

   * Primo, ils bénéficieront de tous les avantages des étudiants de l’Université de Douala, à laquelle seront reversés 50 mille Francs CFA de droits universitaires pour chaque étudiant;

   * Deuxio, ils auront accès aux laboratoires de l’école Nationale polytechnique de Douala. Ndi Samba Polytech Douala est la réponse à une demande pressante des étudiants de la capitale économique, désireux de bénéficier de la longue expérience du groupe Ndi Samba Formation qui, en 52 ans, a déjà formé près de 200 mille jeunes du Cameroun et de la sous-région Afrique Centrale.

      C’était pour moi un devoir citoyen d’accéder à cette sollicitation de longue date des étudiants de Douala, qui méritent eux aussi une éducation de qualité offerte par le pionnier de l’enseignement supérieur privé du Cameroun>> dixit Raymond Ndi Samba, le président du conseil d’administration de la Fondation Joseph Ndi Samba pour l’éducation, promotrice du Centre Universitaire éponyme.

      Et pour marquer le coup, Raymond Ndi Samba a décidé de l’octroi de 500 bourses d’études ( deux fois plus que l’année dernière), soit 250 pour Ndi Samba Polytech Douala et 250 pour le Centre universitaire Joseph Ndi de Yaoundé, la maison-mère. Très concrètement, les étudiants éligibles à ces bourses bénéficieront d’une remise de 30% sur leurs frais de scolarité. Par ces temps de Covid19, marqués par la difficulté des parents à scolariser leurs enfants, voici un bel exemple de RSA, la responsabilité sociétale des entreprises.

   La cerise sur ce beau gâteau, c’est que le groupe Ndi Samba formation élargit son offre extraordinaire à l’agronomie et aux sciences agricoles. Sous la tutelle de l’Université de Dschang les filières ci-dessous y sont désormais disponibles :

       -Le Génie Rural, sanctionné par un Master professionnel en Gestion de l’eau;

        -La Foresterie, sanctionnée par une Licence professionnel en Eaux, Forets et Chasse, des Masters professionnels en Gestion de l’Environnement , Métiers du Bois, de l »Eau et de l’Environnement et enfin des masters professionnels en Études d’impacts Environnementaux, Aménagement Forestier, Valorisation Industrielle du Bois et en Biodiversité Végétale et Tropicale